Thaïlande France à vélo (1/2)

Salut ma petite marmotte dirigeable. La pêche?

<a href="http://www.youtube.com/watch?v=eoHjQs6C4UY?hl=en" data-rel="lightbox-video-0"><noscript><img decoding="async" src="https://i0.wp.com/www.rocktheworld.fr/wp-content/plugins/images/play-tub.png?w=678&#038;ssl=1" alt="Play" style="border:0px;" data-recalc-dims="1" /></noscript><img decoding="async" class="lazyload" src='data:image/svg+xml,%3Csvg%20xmlns=%22http://www.w3.org/2000/svg%22%20viewBox=%220%200%20210%20140%22%3E%3C/svg%3E' data-src="https://i0.wp.com/www.rocktheworld.fr/wp-content/plugins/images/play-tub.png?w=678&#038;ssl=1" alt="Play" style="border:0px;" data-recalc-dims="1" /></a>

 

Cela fait un bail qu’on ne s’est pas parlé toi et moi. Ton serviteur, qui avait le nez plongé dans google map en plus d’être en pleines négociations avec différentes échoppes de bon aloi était assez occupé ces derniers temps.
Nous sommes le 16 du mois de mai, et le 16 du mois de mai est le jour indiqué sur mon billet d’avion suivi de la mention: « Bangkok – Paris, Charles de Gaule » (Comprendre: « Fin des vacances, retourne bosser »). Au moment où j’écris ces lignes, une personne est probablement fort joyeuse de se retrouver avec deux places pour lui seul, permettant ainsi à son corps bronzé, parsemé de piqûres de moustiques et d’un amas d’ampoules aux pieds, d’être confortablement allongé durant ses derniers instants de vacances éclaircissant ainsi son désespoir naissant des futurs retrouvailles avec ses chers collègues de bureau, d’une pointe de bonheur.
Comme tu l’as bien compris, je n’ai pas pris cet avion et ce dans l’unique but de continuer mon périple outre France. Mon contrat avec l’ONG pour qui je bosse se terminant dans une quinzaine de jours, la question que je me pose désormais est « Que faire maintenant ? », « Que veux-tu faire? » C’est simple, je veux voir du pays et poursuivre l’aventure. Suite à cela et logiquement, vient la question suivante :  « Qu’est ce qu’il te reste? », »Qu’est ce que tu as? ». Petit point logistique sur le contenu de ma besogne:

  • 3 tonnes de médicaments que mon infirmière personnel et maternel m’aura donnée avant mon départ et qui n’ont pas encore servis. Quoi d’autres?
  • Un ordinateur.
  • Un appareil photo et son lot d’accessoires.
  • Un hamac « guerre du Viet-Nam » et un duvet Orange fluo qui vont aller de pair avec la cinquième chose que j’ai:
  • Pas de thune.
  • Un sac a dos vert pomme que je garde tant pratique il est.
  • De fringues (trop), un sac de rando, et pleins d’autres trucs qu’il va me falloir envoyer en France.

Résumons, je n’ai donc pas beaucoup d’argent pour me payer des vols dans tous ces pays qui m’attirent.  Ensuite, je veux poursuivre l’aventure « photos et voyages« . Mais, le voyage, dans une de ses définitions les plus communes: prendre un avion pour s’expatrier un temps, est intéressante certes, mais c’est déjà choses faite pour moi avec ce passage de quelques mois en Thaïlande. Dès lors, que faire? Quelque chose qui serait excitant et nouveau?

Thaïlande France à vélo

Haaaaa…. Mais oui !….je sais! C’est facile! Une solution qui coûte moins cher qu’un billet d’avion, qui fait peut-être un peu flippé dans une certaine mesure mais qui justement, est excitante de par son lot d’aventures.
Une solution qui en plus de ça, ne pollue pas et favorise la rencontre avec autrui. Une solution qui file des ampoules aux mains et qui peu faire mal au cul, le tout copieusement arrosé de litres de transpiration et d’huile de genoux.
C’est d’un claquement des doigts squelettiques de ton serviteur qu’apparaît ma fidèle monture crée pour un allé simple: Thaïlande France à vélo, fraîchement testé en montagne, dans le jardin en bas de mon QG.

 > pour lire la suite, clique ici <

Add a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.